[1] Source : Archives Départementales de Loire-Atlantique, B 3486. Transcription et annotations par Amaury de la Pinsonnais en août et septembre 2009 pour Tudchentil, d’après une copie numérique réalisée par Jean-Claude Michaud.

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[2] Louise Le Jacobin, veuve de Jean Louis de Derval, conseiller au Parlement. Leur fils Jean Claude épousera en 1751 Celeste Reine Fortunée du Pérenno (ADLA, Fond Freslon, Vannes). Voir aussi note 83.

[3] Le Plessis-Josso appartenait à la famille Le Mintier.

[4] Peut-être les enfants de Claude Gauvain, sieur de la Regnais, et de Perrine Mouton (ADLA, Fond Freslon, Vannes).

[5] Joseph François de Trévégat, seigneur de Locmaria et de Limoges, né en 1688, décédé en 1735, fils de René François de Trévégat et de Françoise Ursule de Francheville. Il avait épousé Anne Vincente Charlotte de Larlan, dont un fils unique (Frédéric Saulnier, Le Parlement de Bretagne 1554-1790, page 833).

[6] François du Fresne, seigneur de Virel et de la Gaudelinaye, avait épousé Hélène-Françoise de Thierry (Frédéric Saulnier, Le Parlement de Bretagne 1554-1790, page 402). Voir aussi la note 57.

[7] Probablement une épouse de la famille Louvart.

[8] Pierre-François Dondel, seigneur du Faouëdic (Plœmeur), fils de Pierre Dondel, seigneur de Keranguen (Inzinzac), et de Marie-Hyacinthe de Loënan (Henri Frotier de la Messelière, Filiations Bretonnes, tome II, pages 166-168).

[9] Marie Eschallard, née en 1650 et décédée en 1726, épouse en 1680 Pierre de Lannion, baron de Malestroit, gouverneur de Vannes et de Saint-Malo (base Noblesse Bretonne).

[10] Anne Bretagne de Lannion, qui succeda à son père comme gouverneur de Vannes, et fut aussi gouverneur d’Auray. Nous ne connaissons pas ses frères cadets (base Noblesse Bretonne).

[11] Probablement pour Brénéan (Campénéac), et ce serait alors Pierre-Hyacinthe de Carné-Trécesson, seigneur du Fau (Gaël) et de Brénéan, fils de François-Gilles de Trécesson et de Perronnelle du Fau. Il avait épousé en 1703 Thérèse Jacqueline de Lezhildry et est décédé en 1721 à Rennes (Henri Frotier de la Messelière, Filiations Bretonnes, tome I, page 510).

[12] Saint-Gorgon.

[13] Kerambart, en Ambon, a appartenu aux familles de Kerambart et de la Pommeraye.

[14] Ou plutôt Silz, seigneurie de moyenne justice ayant donné son nom à une branche des la Haye de Larré (Jean-Marie Le Mené, Histoire des paroisses du diocèse de Vannes, tome I, p. 13).

[15] Probablement Madeleine Berthou, fille de René Berthou et Madeleine Crouézé, veuve de Jean-Armand de Talhouët, seigneur de Sévérac, et ses deux enfants puisnés Madeleine-Louise et Jean-Philippe, l’ainé Jean-François-Armand s’étant marié en 1717 (Henri Frotier de la Messelière, Filiations Bretonnes, tome IV, page 187 et base Noblesse-Bretonne).

[16] Marie Anne Marin, dame douairière de Bavalan et veuve de Jean Vincent de Quifistre, de son vivant seigneur de Bavalan, qu’elle avait épousé en 1697. Leur fille est Anne Marguerite, née en 1702, et qui épousera François-Joachim Descartes en 1729, de 38 ans son aîné, conseiller au Parlement, veuf de Françoise Goret (Frédéric Saulnier, Le Parlement de Bretagne 1554-1790, pages 298-299).

[17] François-Vincent de Quifistre, né en 1691, fils de Jean-Vincent et d’Antoinette de Lantivy. Il épousera en septembre 1720 Gillonne Charpentier, dame de Gourhel (Base Noblesse-Bretonne).

[18] Chrisogome Clément de Guer, exécuté le 26 mars 1720 à Nantes, est le célèbre marquis de Pontcallec, héros de la gwerz Maro PontKallec (publiée par Théodore Hersart de la Villemarqué, Barzaz Breiz, troisième édition, 1867). Ses biens furent confisqués jusqu’en 1810 (Jean-Marie Le Mené, Histoire des paroisses du diocèse de Vannes, tome I, p. 63).

[19] Il doit s’agir de la mère du précédent, Bonne Louise Le Voyer, dame de Tregomar, veuve de Charles de Guer, marquis de Pontcallec (base Noblesse-Bretonne).

[20] Beaulieu était une seigneurie ayant droit de haute justice (Jean-Marie Le Mené, Histoire..., tome I, p. 75).

[21] Le rôle donne pourtant deux personnes et leurs domestiques, qui suivent... Erreur du copiste ?

[22] Muzillac.

[23] La seigneurie de Brulé a appartenu aux familles de Chefdubois et Botderu (Jean-Marie Le Mené, Histoire des paroisses du diocèse de Vannes, tome I, p. 111).

[24] Peut-être François de Keraly, fils de François-Jean de Keraly, sieur du Fos, conseiller au Parlement, et de Françoise-Philippe de Coëtlogon (Frédéric Saulnier, Le Parlement de Bretagne 1554-1790, p. 540).

[25] Jean-Joseph de Talhouët, seigneur de Sévérac, du Boisorhand et autres lieux, né en 1691, fils de Germain-Judes de Talhouët et de Thérèse-Nicole de Tournemine. Il a épousé Françoise Le Mézec, fille de Julien Le Mézec et de Marie de la Couldraye (Henri Frotier de la Messelière, Filiations Bretonnes, tome V, page 180).

[26] Peut-être Claude Huart, fils de Gervais Huart et de Jeanne Louys, né en 1648 et donné dans l’arrêt de maintenue de noblesse de 1669 comme sieur de la Grande-Rivière (Arrêt de maintenue Huart, sur Tudchentil http://redirect.tudchentil.org/ArretHuart).

[27] Les Le Noir possédaient la seigneurie de la Meule en Carentoir (Jean-Marie Le Mené, Histoire des paroisses du diocèse de Vannes, tome I, p. 138).

[28] Peut-être la famille de la Bourdonnaye.

[29] Bernard François du Mur, décédé en 1742 à Carentoir, époux de Catherine de la Touche et fils de Jean du Mur et Charlotte de Servaude (ADLA, fond Freslon, Carentoir). La seigneurie du Mur est à Carentoir (Jean-Marie Le Mené, Histoire des paroisses du diocèse de Vannes, tome I, p. 138).

[30] Le nom de la famille est Beauvais, Clazeul est une seigneurie de Carentoir (Jean-Marie Le Mené, Histoire..., tome I, p. 137).

[31] Ou plutôt du Fresche de la Villeorion, et il s’agit donc des enfants de Jacques-François du Fresche, écuyer, sieur de la Villeorion (en Cournon), inhumé en 1701 dans l’enfeu de la Cossaye en l’église de Carentoir, et de Louise Guillou, dame de la Meule, décédée en 1699. Deux de leurs quatre enfants vivaient encore en 1720, Louise-Marie, baptisée en 1698, et Louis-René, baptisé en 1697 (La famille du Fresche, Amaury de la Pinsonnais, 2006-2009 et registres paroissiaux de Carentoir).

[32] Un fils de Gervais de Carheil, écuyer, seigneur de la Guychardais (en Carentoir), né en 1677, époux de Jeanne Baellec, dont Mathurin-Gilles né en 1693, Joseph Hyacinthe né en 1697, Marcoul né en 1698, et René né en 1699 (ADLA, fond Freslon, Carentoir).

[33] François Barthélémy Jégou, seigneur du Laz et de Paule, né en 1691, fils de François René Jégou et de Marie Thérèse Gargian, époux en 1722 de Thérèse Marie de Kerloaguen (Base Noblesse-Bretonne). Le Laz est une seigneurie de Carnac (Jean-Marie Le Mené, Histoire ..., tome I, p. 146).

[34] Peut-être un fils de Julien des Portes, sieur de Saint-Nudec, et de Françoise de Lage (Base Noblesse-Bretonne), à moins que ce ne soit déjà un membre de la famille de Bouëtez qui entre en la possession de Saint-Nudec, en Caudan, en 1720 (Jean-Marie Le Mené, Histoire ..., tome I, p. 155).

[35] La seigneurie de Kermain appartenait à la famille de Baud (Jean-Marie Le Mené, Histoire ..., tome I, p. 155).

[36] Les Cléguennec possédaient Meslien, en Cléguer (Jean-Marie Le Mené, Histoire ..., tome I, p. 169).

[37] Sébastien François du Fou, seigneur de Bézidel, époux en 1694 de Marie de la Fosse et fils de Laurent du Fou et Françoise Tanguy (Basse Noblesse Bretonne). Cette famille est attestée à Bézidel (en Cléguerrec) de 1380 à 1760 (Jean-Marie Le Mené, Histoire du diocèse de Vannes, tome I, p. 173).

[38] La famille Guilliers possédait en Cléguérec les terres de la Ferté, Kerropert et Kervéno (Jean-Marie Le Mené, Histoire..., tome I, p. 174).

[39] Jean-Baptiste Mathurin Rado, seigneur de Cournon, demeurant à la Ville-Janvier, né en 1681, fils de René Rado, seigneur de Cournon, et de Julienne Charpentier, époux en 1711 de Jeanne Anne Marion, dame de Port-de-Roche (ADLA, fond Freslon, Cournon). Les Rado possédaient alors toutes les seigneuries de Cournon, sauf Lestun.

[40] Guillaume-Charles Rado, frère puîné (en 1682) du précédent.

[41] La famille de Lessart disparaît des registres de Cournon dès 1703, il pourrait néanmoint s’agir de Claude Alain de Lessart, sieur de Lestang, baptisé en 1669, cité en 1695, fils de René de Lessart et de Suzanne Grimaud (ADLA, fond Freslon, Carentoir). Il nous semble qu’il faille plutôt lire Lestun que Lestang (Amaury de la Pinsonnais, La famille du Fresche, 2006-2009).

[42] Kergurioné.

[43] Peut-être un membre de la famille de Francheville qui a possédé une terre de ce nom.

[44] Probablement une dame de Sérent, famille qui possédait Beaulieu au XVIIIe siècle.

[45] Kerfily, en Elven a appartenu aux Sérent (Jean-Marie Le Mené, Histoire des paroisses du diocèse de Vannes, tome I, p. 213).

[46] Antoine Le Marchant, seigneur de Vaunoisse, intendant des affaires du marquis du Plessis-Guénégaud, né vers 1648, épouse en 1685 à Glénac Marie Louise Dollier, veuve (ADLA, fond Freslon, Glénac).

[47] Louis René de Forges, seigneur de la Gaudinays, époux de Gilette Marie de la Landelle qu’il a épousé avant 1714. Il était né en 1688, fils de Guillaume de Forges et de Gilonne du Matz (ADLA, fond Freslon, Glénac).

[48] François-Joseph Le Meilleur, sieur de Larré, président à mortier au Parlement de Bretagne, né en 1698, décédé en 1743, fils de Joseph Le Meilleur, sieur de Kerhervé, et d’Elisabeth Boussineau (Basse Noblesse Bretonne).

[49] Les Lesquen possédaient Gouézac, en Grand-Champ (Jean-Marie Le Mené, Histoire des paroisses du diocèse de Vannes, tome I, p. 260).

[50] Ville-Pelotte était possédée par les du Bot (Jean-Marie Le Mené, Histoire..., tome I, p. 274).

[51] Alain Jacques René Bonin, sieur de la Ville-Bouquais, fils d’Alain René Bouquin, seigneur de la Ville-Bouquais, Trégranteur, Quermahéas, lieutenant des maréchaux de France à Loudéac, et de Claude Renée Huart (de Beuvres), né en 1686 à Guégon (au château de Trégranteur), décédé en 1745, conseiller au Parlement de Bretagne et époux 1^o en 1710 de Marie Rose de la Bigotière, décédée en 1722, puis 2^o en 1724 de Jeanne Françoise Bertho, veuve de Joseph René de Kergu (Frédéric Saulnier, Le Parlement de Bretagne 1554-1790, p. 106).

[52] Ou Coetdor, en Guidel, qui appartenait aux Jourdain (Jean-Marie Le Mené, Histoire des paroisses du diocèse de Vannes, tome I, p. 312).

[53] Ou plutôt du Vergier, Kerhorlay est en Guidel (Jean-Marie Le Mené, Histoire..., tome I, p. 313).

[54] Peut-être Hélène de France, épouse en 1671 à Vannes de Mathurin de Baud (Basse Noblesse Bretonne). Brésséan en Inguiniel appartenait en effet à la famille de Baud (Jean-Marie Le Mené, Histoire..., tome I, p. 359).

[55] Les Robien y possédaient Kerambourg (Jean-Marie Le Mené, Histoire..., p. 388).

[56] Ce peuvent-être Gabriel, Jean-Baptiste Claude et Claude Charles de Perrien, fils de Vincent de Perrien, sieur de la Bouexière et de la Haye-Keramborgne, et d’Agnès de Lantivy qu’il avait épousé vers 1695 (Basse Noblesse Bretonne). Ils possédaient Lannouan en Landevan (Jean-Marie Le Mené, Histoire..., tome I, p. 312).

[57] Probablement le père de François du Fresne, seigneur de Virel et de la Gaudelinaye, époux d’Hélène Françoise de Thierry, qu’on a rencontré à la note 6.

[58] Les Collobel ont possédé le Bot depuis au moins 1427 jusqu’après la Révolution (Jean-Marie Le Mené, Histoire des paroisses du diocèse de Vannes, tome I, p. 399).

[59] Ou Chevière, possesseurs de la Gaudinaye depuis 1652 (Jean-Marie Le Mené, Histoire..., tome I, p. 399).

[60] Il doit s’agir de François de la Pierre, seigneur de Talhouët, conseiller-maître à la Chambre des comptes, né vers 1658 et décédé en 1727, fils d’autre François de la Pierre et de Thomasse Dondel, qui a épousé en 1686 à Nantes Marguerite Pélagie Ebérard (Basse Noblesse Bretonne). Voir aussi la note 108. La famille de la Pierre possédait le principal château de Languidic, celui de la Forêt (Jean-Marie Le Mené, Histoire..., tome I, p. 410).

[61] Probablement Hilarion de Cléguennec, seigneur de Lantillac, qui épouse en 1727 Catherine Charlotte de Coëtlogon, à moins que ce ne soit son père (que nous ne connaissons pas) (Basse Noblesse Bretonne).

[62] Kerrollin était la principale seigneurie de Lanvaudan (Jean-Marie Le Mené, Histoire des paroisses du diocèse de Vannes, tome I, p. 422).

[63] Pierre Dominique Huchet, seigneur de la Villechauve, avait épousé en 1708 Marie Anne Julienne de Porcaro, dame de la Gacilly, puis en 1712 Marie Perrine Drouet, mais n’eut pas d’enfant. Il donna la Villechauve à sa nièce Charlotte Elisabeth Drouet, née en 1720, à l’occasion de son mariage en 1738 avec Louis-Joseph de la Houssaye (La famille de la Houssaye, Amaury de la Pinsonnais, 2004-2009).

[64] Peut-être Renée Le Douarain, veuve de Jean Pélage Huchet, né vers 1657, décédé en 1713, peut-être père et mère du précédent (ADLA, fond Freslon, Les Fougerêts).

[65] Ce doit être Marie Madeleine Guillart qui avait épousé en 1700 aux Fougerêts son cousin Jean Guillart, mort en 1716. Ils eurent au moins un fils, Jean François, né en 1706 (ADLA, fond Freslon, Les Fougerêts). Ils possédaient le Pont-d’Oust (Jean-Marie Le Mené, Histoire des paroisses du diocèse de Vannes, tome I, p. 237).

[66] Ou Vaudarz. Joseph Michiel, seigneur du Vaudart en Malansac, est né en 1658 et décédé en 1739. Fils de Gilles Michiel et de Guyonne de Marbré, il a épousé en 1691 Suzanne Le Breton, dont quatre enfants (Basse Noblesse Bretonne).

[67] Probablement Henri du Roscoët, fils de Bernadin du Roscoët et de Marguerite Botherel, qui épousa Marie Jeanne du Boisbaudry, née en 1674, fille de François du Boisbaudry et de Renée Le Pape (Basse Noblesse Bretonne).

[68] Hervé de Lantivy, seigneur de Talhouët, fils de Louis de Lantivy et de Gilette Alibant, avait épousé Jeanne Le Bondoul, dont quatre enfants (Basse Noblesse Bretonne). Il possédait Kerloix en Maguénac (Jean-Marie Le Mené, Histoire des paroisses du diocèse de Vannes, tome I, p. 504).

[69] Le Poul, en Mellionec, appartenait à la famille Raoul (Jean-Marie Le Mené, Histoire..., tome I, p. 516).

[70] Jean de Robien, seigneur de Coëtsal, marié en 1683 à Arradon avec Anne Aubin, fille de Pierre Aubin et de Marie Le Lidour (Basse Noblesse Bretonne).

[71] Probablement un Gouyon, de la branche du Vaudurant. Ils possédaient l’unique seigneurie de la paroisse, Guern. Voir aussi la note 105.